• Premièrement, une conciliation entre un emploi à temps partiel et les études pour les jeunes de 18 ans et moins est une excellente manière de responsabiliser les générations futures. En effet, un boulot demande une certaine autonomie puisque le jeune employé doit accomplir ce que son patron lui ordonne de faire et ce, conformément. Par exemple, certains employeurs ne se gênent pas de renvoyer leurs employés après plusieurs retards marqués. C’est pourquoi l’adolescent se doit d’être ponctuel. En outre, le jeune a un engagement envers son employeur et doit suivre un code d’éthique afin de préserver son poste. D’autant plus que le salaire obtenu lui permet de subvenir à ses propres besoins sans l’apport financier des parents. C’est un avant-goût de ce que lui réservera ses années futures en tant qu’adulte. Par ailleurs, une rémunération oblige le jeune à gérer son argent convenablement pour pouvoir se payer ses biens et épargner pour l’avenir.

    Deuxièmement, il y a quelques années, les temps étaient difficiles et plusieurs familles ont dû resserrer leur ceinture (et leur portefeuille) afin de traverser la tempête économique qui secouait le Canada en 2008. Ce ne sont pas tous les parents qui pouvaient se permettre de payer les études de leurs enfants. Avec un taux de chômage de 9,5 % en 2010, il était de mise pour les jeunes de contribuer financièrement dans leurs études. De surcroît, on le sait bien, au Québec, le taux de décrochage scolaire demeure navrant. Effectivement, en 2010, Statistiques Canada annonçait que 20 % des jeunes de 15 à 19 ans ne fréquentaient pas l’école. Si les jeunes ont des petits boulots lorsqu’ils sont jeunes, ils voient plus facilement que le salaire minimum ne sera pas suffisant pour combler leurs désirs dans les années à venir. Cette réalité les poussera donc à rester à l’école pour achever des niveaux d’étude supérieurs.


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    En 2004, le service de réseautage social fondé par Mark Zuckerberg, Eduardo Saverin, Dustin Moskotvitz et Chris Hughes voyait le jour. On retrouve actuellement plus de 845 millions abonnés sur ce site. Le réseautage social est un phénomène qui touche la vie des adolescents. Les systèmes sociaux ont acquiert une popularité exponentielle prompte et surtout ont-ils révolutionné la communication à travers le monde. Les réseaux sociaux demeurent une excellente façon de garder contact avec le reste du globe. Une interdiction à l’accès des réseaux sociaux aux jeunes serait une entorse à la liberté individuelle. D’autant plus que ces avancées sociales permettent aux jeunes de rester informés sur les actualités et de prendre position sur les réalités locales et ainsi qu’internationales. Finalement, l’accès aux réseaux sociaux contribue aux jeunes de garder contact avec leurs amis et de vieilles connaissances.  

     


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    Une pensée verte a fracassé le Québec ces dernières années. Avec le principe de développement durable, la vague verte était de mise. Votre lettre ouverte, Madame Nadine Vachon était révélatrice des abus des écologistes envers la population qui tente tant bien que mal de mettre son grain de sel dans le mouvement écolo! J’estime, comme vous, que les messages extrémistes des écologistes ne sont pas encourageants mais plutôt abusifs!

     

    Premièrement, forcer la population à changer catégoriquement du jour au lendemain sa manière de vivre est totalement utopique! Les groupes écologistes affirment que les efforts de la société ne sont jamais satisfaisants pour contrer le réchauffement climatique. Or, plusieurs Québécois, comme vous Madame Vachon, semblent donner des petits efforts quotidiens comme le tri des déchets et la diminution de consommation énergétique. Notamment, dans plusieurs municipalités québécoises, des mesures environnementales ont été imposées afin de ralentir le phénomène climatique. En effet, en 2008, la ville estrienne de Sherbrooke présentait une réglementation sur l’imposition du compostage. Désormais, les Sherbrookois auraient trois bacs dans leur cours : le bac à déchets, le bac à récupération ainsi que le bac à compost.

     

    Deuxièmement, l’intensité des propos de ces fervents écologistes engagés pourrait freiner le virage vert du peuple québécois. Comme vous l’avez dit, lorsque les écologistes se montrent trop radicaux, je décroche! Ce n’est pas en nous bourrant le cerveau, nous, simples citoyens qui tentons de faire notre part, que le message passera mieux. Votre lettre ouverte exprimait clairement que les pressions mises par les environnementalistes extrémistes à la société ne faisaient qu’aggraver le cas et non transmettre les valeurs du développement durable.

     

    Finalement, les fameux bilans dépressifs des nombreux écologistes radicaux m’exaspèrent. Non seulement le ton employé dans ces documents est tout à fait exagéré, mais les informations accusent l’homme des plus impardonnables péchés envers sa planète. Il y a soixantaine ans, la société était entièrement ignorante des effets néfastes que la surconsommation et des gaz à effet de serre avaient sur la planète Terre. Maintenant que la population sort de sa routine et essaie de poser des petits gestes pour l’environnement, une foule d’écologistes les giflent en pleine figure en gueulant que ce n’est pas assez. Vous avez complètement raison sur le sujet, les écologistes extrémistes abusent de la patience des citoyens et n’encouragent aucunement la pensée verte en agissant de la sorte.

     

    Pour conclure, tel que vous l’aviez bien défendu, forcer la population à se conformer à l’écologie ou s’acharner vivement ou même constamment démoraliser les gens avec des résultats décevants ne sont pas des moyens efficaces pour intéresser les individus à la cause environnementale. Je ne dis pas qu’il ne faut pas montrer les vrais chiffres concernant le réchauffement climatique, mais il ne faut pas non plus se montrer trop insistant jusqu’à en alarmer (agacer) la société.

     


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